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À
 Paris, Marec, un ancien officier de la marine marchande, se promène le 
long des quais de la Seine avant d’aller à l’Opéra. Un souvenir se 
réveille au passage d’une péniche… 
À
 bord du Marion Dufresne, il navigue vers les Kerguelen pour ravitailler
 les scientifiques isolés qui attendent depuis des semaines. Un appel 
d’urgence déroute le navire : un chalutier japonais est en perdition non
 loin des îles australes. À l’arrivée sur la zone, un tableau sinistre 
se profile… Marec Dévarenne ne reviendra pas indemne de cette mission. | 
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Lauréat du prix Henri-Quéffelec 2013 
Tous les étés, Roger Taylor part sur Mingming, un simple voilier de six mètres au gréement de jonque, pour une croisière de deux mois préparée durant les longs mois de l’hiver. Ces navigations vers l’Islande, Rockall, les îles Féroé, Jan Mayen, la glace du Groenland sont au programme de ce livre. Également, l’auteur nous raconte sa participation au dernier Jester Azores Challenge. 
Roger Taylor écrit avec le rythme lent d’une traversée, avec une omniprésence de la mer et de la faune marine. Il nous fait partager ses joies extraordinaires, comme le pur plaisir de naviguer au milieu des glaces, ses moments de blues, ses journées sans vents, ses rencontres avec des hordes de globicéphales qui l’accompagnent pendant plusieurs heures… De nombreuses lignes sont dédiées à sa conception de la navigation à la voile en solitaire, à son approche de la sécurité et à sa vie à bord. 
Ce récit est une approche originale de la mer, un ouvrage pour ceux qui aiment ou aimeraient naviguer, débarrassés des attributs superficiels en dehors des sentiers battus. 
Titre original : "Mingming and the Art of Minimal Ocean Sailing" | 

 
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Novembre
 1799, au large du goulet de Brest, le capitaine Crochetout et son 
équipage combattent l’ennemi anglais venu en surnombre bloquer le port. 
La Brûle-Gueule, corvette de dix-huit canons, est seule face à trois navires surarmés. Une formidable bataille navale s’engage. 
Cette
 action navale est située au seuil du coup d’État de Bonaparte, une 
période où la révolte gronde dans les campagnes bretonnes. Les chouans 
se mobilisent. Les Anglais préparent l’expédition du comte d’Artois qui 
doit débarquer sur la côte et tentent d’interdire l’accès à la rade de 
Brest.    | 

 
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En
 1782, l’expédition de Lapérouse dans la baie d’Hudson, Canada, est un 
épisode peu connu de la Guerre d'Indépendance américaine. 
Alain
 Barrès présente plusieurs documents qui renouvellent notre connaissance
 de cet exploit maritime : les journaux et récits inédits de Lapérouse 
lui-même, de Monneron et de La Jaille, commandant l'Engageante.
 La redécouverte des témoignages des employés de la Compagnie de la baie
 d'Hudson enrichit utilement la version française des évènements. 
Cette
 campagne précède et prépare le grand voyage autour du monde (1785-1788)
 et ouvre de nouvelles perspectives sur les personnalités de Lapérouse, 
Langle et Monneron.Un rapide historique de la Compagnie de la baie 
d’Hudson rappelle ce que fut pendant plus d'un siècle la rivalité 
franco-anglaise dans cette région hostile et méconnue.
 
 
Préface de Marie-Christine Pestel, Présidente honoraire de l’Association Lapérouse Albi-France. | 

 
En 1740, durant la guerre de l'Angleterre avec l'Espagne, le commodore 
George Anson (1697-1762) reçoit l’ordre de mettre à la voile pour le 
Pacifique Sud avec une escadre de six navires afin de s’emparer d’un 
galion espagnol. L’expédition navale tourne vite au désastre. Les 
vaisseaux sont mal équipés ; les épidémies déciment les hommes 
d’équipage ; la saison des tempêtes aux alentours du cap Horn disperse 
la flotte. George Anson réussit à capturer le vaisseau espagnol et son 
trésor, puis rentre par le Pacifique et l’océan Indien non sans 
difficultés avec les Chinois.   
Cette circumnavigation de quatre années ramène Anson et une poignée d’hommes sur le sol anglais. 
C’est,
 ce récit, recueilli à partir des journaux de bord, que raconte Richard 
Walter le sacristain du Centurion, navire du commodore, bien avant ceux 
des navigateurs et explorateurs : Louis-Antoine de Bougainville (1766 à 
1769) et James Cook (trois voyages entre les années 1768 à 1780).