Bonjour,
Mon père et moi nous venons de publier son autobiographie: "vagues à l'âme d'un apprenti-marin", aux Editions de l'Officine.
Un travail de 7 ans, une belle aventure...surtout lorsque l'on sait que mon père est âgé de 89 ans.
Pourquoi ce message?
Pour vous demander de nous aider à faire connaître ce livre.
Ce récit s'adresse en priorité aux marins, puisqu'il décrit la vie quotidienne à bord des 7 navires sur lesquels mon père a embarqué de 1938 à 1945: le navire école Armorique, le cuirassé Courbet, le pétrolier Motrix, le porte-avions Béarn, le croiseur Emile Bertin, le contre torpilleur le Terrible et l'escorteur Grenadier.
Mais cette autobiographie vivante, humaine et bourrée d'anecdotes, pourra toucher toutes les générations.
Suivant les traces de mon grand-père (27 ans de Marine), mon père entre à l'école des mousses de Brest, le 6 octobre 1938.
La seconde guerre mondiale s'impose à lui alors qu'il a 16 ans.
Pendant ses 7 années de Marine , il participera à 4 débarquements (Salerne, Corse, Anzio et Provence).
Les 60 premières pages de ce livre qui en comporte 334 (380 en comptant le cahier iconographique et les poèmes Marine), racontent son enfance dans un village de l'Hérault, Valras Plage. Ces chapitres, très pittoresques, aident à mieux le connaître et à mieux comprendre ces choix futurs.
Je vous communique l'adresse du site, consacré à ce livre, que je viens de mettre en ligne:
Je me tiens à votre disposition pour tout renseignement complémentaire.
Cordialement
Bernard Pichon
PS: ci dessous les extraits d'articles des 2 quotidiens Midi Libre et la Marseillaise:
"« Aussi loin que remonte ma mémoire, la mer et les histoires de marins ont toujours bercé ma jeunesse ». Même assis, la stature est imposante. Le regard clair a des éclats métalliques en évoquant les souvenirs qui se bousculent malgré ses 88 ans. Ses souvenirs, il les distille sans retouches et sans hypocrisie au cours des 334 pages de son autobiographie, «Vagues à l’âme d’un apprenti marin ». Les premiers chapitres plongent dans la petite enfance bourrée d'anecdotes sur son village héraultais, Valras Plage… les inondations, la TSF, la Saint-Pierre ou les vendanges."[1] "On ne peut qu’être pris par ce style direct, facile à lire, sans forfanterie, et par les événements racontés comme il les a vécus. Tout respire une honnêteté foncière et une philosophie de la vie sans complications. Il faut dire que, de la dure école de la marine, il a retiré une droiture de conscience qui lui fait négliger aussi bien excuses que justifications. Ce témoignage respire l’authenticité."[2]