Bonjour,
Je vous prie de trouver ci-joint la présentation d'un récit que je viens de terminer sur un naufrage survenu en 1898, totalement éclipsé par celui du "Titanic". Plus de 500 personnes ont péri dans le naufrage de "la Bourgogne". Une seule femme a survécu et aucun enfant.
Après de longues recherches, j'ai fait le récit de cette tragédie en collant à la vérité, mais aussi en rajoutant une intrigue et quelques personnages fictifs.
Connaîtriez-vous des éditeurs susceptibles d'être intéressés par cette histoire, à mi-chemin entre le roman historique et le documentaire?
Cordialement,Jean-Paul Bossuge jpbossuge@hotmail.com
Depuis le 16 juin 1886, le transatlantique la Bourgogne, un des fleurons de la Compagnie Générale Transatlantique, assure la liaison entre New York et le Havre.Ce samedi 2 juillet 1898, trois anciens joueurs du Havre Athletic Club, le premier club de rugby fondé en France, se retrouvent sur le paquebotLe liner entame son vingt-cinquième voyage de l’année, avec plus de sept cents personnes à bord.La traversée s’annonce festive et les passagers, en majorité de nationalité américaine, s’apprêtent à célébrer fastueusement la fête de l’ Independence Day, magnifiée, cette année là, par la victoire des Etats-Unis sur l’Espagne dans l’île de Cuba.Après deux jours de soleil, un brouillard intense se lève au large de la Nouvelle Ecosse, dans la nuit du 4 juillet. Vers cinq heures du matin, la Bourgogne est abordée par le Cromartyshire, un trois mâts anglais. Le bateau n’arrivera jamais au Havre et sombrera en quarante minutes. Ce naufrage eût à l’époque un retentissement considérable, tant aux Etats-Unis qu’en France, mais fut complètement éclipsé, quatorze ans plus tard, par celui du Titanic. Et pourtant, les témoignages des survivants furent effroyables.La tragédie de la Bourgogne restera la pire catastrophe de la Compagnie Générale Transatlantique.(Dans un souci de vérité, la reconstitution de ce naufrage méconnu a nécessité, de minutieuses recherches auprès des Archives Nationales du Monde du Travail, de la Bibliothèque Nationale, de la Bibliothèque Sainte Geneviève, de l’Association French Lines au Havre, des Archives du Ministère des Affaires étrangères à Nantes, du Service historique de la Marine Nationale, et de la London Newspaper Library.) Jean-Paul Bossuge
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